Le mouvement des Amis de Kizito (AK ou CVAV), mouvement d’action catholique des enfants, avec les enfants et pour les enfants, de la Paroisse « Sacré Cœur » a effectué le dimanche 20 Mars sa marche de carême dans les murs du Séminaire. Le thème était : « Toi, Ami de Kizito, comment vis-tu ta foi dans la diversité ? ». près de 300 enfants et accompagnateurs ont pu trouver ce jour un vrai cadre de ressourcement spirituel pour la marche vers Pâques. C’est aux pieds de la grotte "Notre Dame du Rosaire de Samaya" que eurent lieu les activités suivantes :
1. causerie sur le thème
2. Animation
3. Carrefours sur le questionnaire
4. Célébration Eucharistique.
Des sketchs, des poèmes et chants furent présentés pour marquer et illustrer le thème de la marche.
La journée prit fin par une collecte organisée par les enfants pour soutenir les travaux de construction de la nouvelle cathédrale de Bamako et par la remise des cadeaux aux "Pèlerins".
Dieu soit loué pour les nombreuses merveilles qu’Il nous donne à découvrir dans les enfants.
Tchotcho Fabien CAMARA.
SAMAYA EN LIGNE
Le blog du Grand Séminaire Saint Augustin de Samaya Bamako
lundi 28 mars 2011
vendredi 18 mars 2011
samedi 12 mars 2011
LE SEMINAIRE SINISTRE
Le Mardi 08 Mars, entre 18h et 21h, le Grand séminaire a été durement éprouvé. La cuisin des prêtres formateurs a pris feu suite à l'échappement de gaz. Grâce à la bravoure des séminaristes, le feu a été vite maîtrisé. La cusinière avec d'autres ustensiles de cuisine ont été complètement calcinées.
En outre, alors que les séminaristes et leurs formateurs étaient à table, ce fut le tour de la chapelle de prendre feu suite à un courcircuit. Encore la rapidité des étudiants permis de vite venir à bout de l'incendie. Le plafond au dessus du choeur fut calciné.
Actuellement la grande salle est amenagée et sert de chapelle en attendant la réparation des dégats.
A cet effet, le séminaire se confie à vos ferventes prières afin de terminer l'année académique en beauté.
En outre, alors que les séminaristes et leurs formateurs étaient à table, ce fut le tour de la chapelle de prendre feu suite à un courcircuit. Encore la rapidité des étudiants permis de vite venir à bout de l'incendie. Le plafond au dessus du choeur fut calciné.
Actuellement la grande salle est amenagée et sert de chapelle en attendant la réparation des dégats.
A cet effet, le séminaire se confie à vos ferventes prières afin de terminer l'année académique en beauté.
lundi 28 février 2011
« Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l'Argent. » Mt 6, 24.
En lisant ce verset, tout de suite, nous pouvons nous inquiéter et nous poser la question : Jésus aurait-il condamné l’argent ? Si oui pourquoi ? Que veut dire argent ?
Jésus fait son interpellation dans un milieu où l’on ne cherche son bonheur que dans les biens matériels, surtout l’argent.
Dans sa condamnation, Jésus parle de "Mammon" (en araméen), qui signifie effectivement « l’argent », mais aussi le gain, le profit ou l’ensemble des richesses matérielles.
Sous le vocable "argent"(Mammon) Jésus index la personnification du pouvoir de l’argent, devenu une sorte d’idole, une sorte de divinité revendiquant la place et l'autorité qui sont celles de Dieu. Servir Mammon c’est donc pratiquement se préoccuper que de soi-même, de son petit bonheur sur terre ; ce qui rend l’homme esclave de l’argent. Jésus ne condamne donc pas l’argent en soi, dans son usage normal, mais quand il devient maître de l’homme.
L’esclavage de l’argent est le véritable cancer de nos sociétés. Notre civilisation est en train de se détruire elle-même, sous le rythme infernal que lui impose la course à l’argent. La rentabilité passe avant le souci du bien des personnes. Aujourd’hui tout se fait pour se faire de l’argent. C’est cela, ‘’l’asservissement à l’argent ‘’, que le Christ condamne.
Dieu et l’argent, voilà deux maîtres entre lesquels il nous faut choisir.
Ou servir Dieu : Servir l’amour, être libre, donner à Dieu la première place dans notre vie.
Ou servir Mammon : cultiver la haine, le profit, le mal, …ce qui est contradiction de la dignité de tout homme.
Que le Seigneur nous aide à nous libérer de tout esclavage de l’argent et à voir en Lui le Seul Maître de nos vies. Amen.
Abbé Honoré DENOU
Jésus fait son interpellation dans un milieu où l’on ne cherche son bonheur que dans les biens matériels, surtout l’argent.
Dans sa condamnation, Jésus parle de "Mammon" (en araméen), qui signifie effectivement « l’argent », mais aussi le gain, le profit ou l’ensemble des richesses matérielles.
Sous le vocable "argent"(Mammon) Jésus index la personnification du pouvoir de l’argent, devenu une sorte d’idole, une sorte de divinité revendiquant la place et l'autorité qui sont celles de Dieu. Servir Mammon c’est donc pratiquement se préoccuper que de soi-même, de son petit bonheur sur terre ; ce qui rend l’homme esclave de l’argent. Jésus ne condamne donc pas l’argent en soi, dans son usage normal, mais quand il devient maître de l’homme.
L’esclavage de l’argent est le véritable cancer de nos sociétés. Notre civilisation est en train de se détruire elle-même, sous le rythme infernal que lui impose la course à l’argent. La rentabilité passe avant le souci du bien des personnes. Aujourd’hui tout se fait pour se faire de l’argent. C’est cela, ‘’l’asservissement à l’argent ‘’, que le Christ condamne.
Dieu et l’argent, voilà deux maîtres entre lesquels il nous faut choisir.
Ou servir Dieu : Servir l’amour, être libre, donner à Dieu la première place dans notre vie.
Ou servir Mammon : cultiver la haine, le profit, le mal, …ce qui est contradiction de la dignité de tout homme.
Que le Seigneur nous aide à nous libérer de tout esclavage de l’argent et à voir en Lui le Seul Maître de nos vies. Amen.
Abbé Honoré DENOU
mardi 15 février 2011
EVALUATION DU PREMIER SEMESTRE
Au terme d’un semestre intense riche en activités, les grands séminaristes et leurs formateurs ont revisité leur vivre ensemble le 11 Février, en vue de connaitre leurs derniers semestres couronnés de succès.
Après s’être penchés sur le questionnaire qui leur était soumis, les différents cours ont relevé ceci :
• Le premier semestre a été positif
• La chaleureuse et fructueuse vie communautaire malgré quelques lacunes. Ce qui d’ailleurs à donné lieu à une exhortation pour le maintien du cap.
• Les bonnes animations liturgiques quoiqu’on ait constaté quelques tares (retard, irrégularité non justifiés)
• La rigueur dans le travail intellectuel avec la disponibilité des professeurs et l’engagement des étudiants dans l’animation des cours et les recherches. Le nombre insuffisant des professeurs et le manque de certains documents fondamentaux sont les grands problèmes rencontrés
• Vive félicitation à toute la communauté pour son dévouement au bien être de tous à travers les comités et services qui structurent tous les domaines de la vie au séminaire.
Dans son mot de clôture, le Recteur a exhorté tout un chacun à continuer les bonnes œuvres et à travailler au soin et à l’amélioration des insuffisances à tous les niveaux.
François SIDIBE, 2ème Année Philosophat
Après s’être penchés sur le questionnaire qui leur était soumis, les différents cours ont relevé ceci :
• Le premier semestre a été positif
• La chaleureuse et fructueuse vie communautaire malgré quelques lacunes. Ce qui d’ailleurs à donné lieu à une exhortation pour le maintien du cap.
• Les bonnes animations liturgiques quoiqu’on ait constaté quelques tares (retard, irrégularité non justifiés)
• La rigueur dans le travail intellectuel avec la disponibilité des professeurs et l’engagement des étudiants dans l’animation des cours et les recherches. Le nombre insuffisant des professeurs et le manque de certains documents fondamentaux sont les grands problèmes rencontrés
• Vive félicitation à toute la communauté pour son dévouement au bien être de tous à travers les comités et services qui structurent tous les domaines de la vie au séminaire.
Dans son mot de clôture, le Recteur a exhorté tout un chacun à continuer les bonnes œuvres et à travailler au soin et à l’amélioration des insuffisances à tous les niveaux.
François SIDIBE, 2ème Année Philosophat
lundi 7 février 2011
ETRE SEL DE LA TERRE ET LUMIERE DU MONDE
Par des exemples simples mais bien sensibles, le Christ explique à ses disciples ce que doit être leur vocation dans le monde :
Etre Sel de la terre, c’est donner goût à la vie, au monde comme le sel donne goût aux aliments.
Etre lumière du monde, c’est être le guide sûr sans lequel le monde se perdrait comme un aveugle sans guide-illuminé.
Cette vocation chrétienne n’est pas de la littérature, de l’abstraction. C’est du concret : partager le pain avec celui qui a faim, prendre soin du malheureux, …à la suite du Christ, qui a aimé le monde jusqu’à se livrer à la croix.
Abbé Clément LONAH, Recteur.
Etre Sel de la terre, c’est donner goût à la vie, au monde comme le sel donne goût aux aliments.
Etre lumière du monde, c’est être le guide sûr sans lequel le monde se perdrait comme un aveugle sans guide-illuminé.
Cette vocation chrétienne n’est pas de la littérature, de l’abstraction. C’est du concret : partager le pain avec celui qui a faim, prendre soin du malheureux, …à la suite du Christ, qui a aimé le monde jusqu’à se livrer à la croix.
Abbé Clément LONAH, Recteur.
jeudi 3 février 2011
LE BONHEUR DES HOMMES EST EN CHRIST !
La belle page des Béatitudes que la liturgie du 4ème dimanche du temps ordinaire nous offre, trace pour nous le chemin de notre méditation de la semaine qui doit nous conduire au bonheur en Christ. Blaise Pascal disait dans ses Pensées : « Tous les hommes recherchent d’être heureux (…) C’est le motif de toutes les actions de tous les hommes. Et cependant, depuis un si grand nombre d’années, jamais personne, sans la foi, n’est arrivée à ce point où tous visent continuellement ».
Les saints que nous célébrons cette semaine ont fait de cette pensée une réalité grâce effectivement à la foi. Nous citons entre autres Jean Bosco, père, ami et maître des jeunes ; Blaise, héros de la prière intérieure ; et Agathe, témoins de la puissance divine qui transforme la fragilité et la pauvreté humaines en force. Ils n’ont pas dédaigné consacrer leur Vie à Dieu à l’instar de toutes les personnes consacrées pour lesquelles l’Eglise prie le 2 février, jour de la présentation du Seigneur au temple. Se consacrer à Dieu n’est-il pas aussi et surtout un chemin de bonheur pour l’homme et pour le monde ?
Abbé Alexandre DENOU
Les saints que nous célébrons cette semaine ont fait de cette pensée une réalité grâce effectivement à la foi. Nous citons entre autres Jean Bosco, père, ami et maître des jeunes ; Blaise, héros de la prière intérieure ; et Agathe, témoins de la puissance divine qui transforme la fragilité et la pauvreté humaines en force. Ils n’ont pas dédaigné consacrer leur Vie à Dieu à l’instar de toutes les personnes consacrées pour lesquelles l’Eglise prie le 2 février, jour de la présentation du Seigneur au temple. Se consacrer à Dieu n’est-il pas aussi et surtout un chemin de bonheur pour l’homme et pour le monde ?
Abbé Alexandre DENOU
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